Blackswift et droïde chien de guerre

moui si on ne généralise pas je suis daccord mais bon... Sont peu être 5% à être bien. En travaillant dans les metiers où j'ai travaillé j'ai vu uniquement ce qu'il y a de plus débile et de plus stupide chez l'humain, ça doit probablement influencer mon jugement.

Non, Mordrep a raison : la grande majorité des êtres humains est plutôt positive et cherche le bonheur. Le vrai problème vient qu'ils se comportent tous en animaux grégaires prêts à suivre n'importe qui ou n'importe quoi au non de belles promesses.

Nous ne disparaîtrons pas (à moins qu'un Poutine n'allume les missiles...), mais nous devons penser nos sociétés différemment. Nous passons notre temps à consommer, consommer et consommer sans nous soucier de savoir comment cela va se terminer. Les ressources, quelqu'elles soient, ne sont pas infinies. Il faut donc arrêter ce consumérisme et se demander si l'on ne peut pas vivre autrement.

Par exemple, il est quand même dingue que l'on jette, je dis bien jeter, des téléphones portables fonctionnels au bout de 2 ans, des ordinateurs fonctionnels au bout de 5, des voitures au bout de 10, etc. Il n'y a plus rien de durable, tout est jetable. Et se consomme de plus en plus vite. D'où une demande en matière première exponentielle.

Comment voulez-vous ensuite que, pour protéger cette "Occidental Way of Life", nous ne soyons pas devenus prédateurs de nations moins fortes, plus fragiles, mais possédant ces ressources si précieuses ?

mouais, moi je reste sur l'humain à proprement parler sans parler de son mode de vie. L'humain c'est mal... L'humain c'est stupide quand c'est pas suffisamment intelligent pour être vicieux...

Y a des animaux carnivores moins dangereux qu'eux, et qui eux ne s'amusent pas à détruire leur lieu de vie. L'humain est aussi le seul animal à s'entretuer pour des raisons autres que sa survie immédiate.

il faudrait vraiment un énorme changement pour que je reprenne confiance dans l'humanité.

Meuh non c'est bien les humains.

Il faut conquérir la galaxie, ça devrait résoudre nos problèmes de consommation de ressources naturelles pour un moment.

Reste à espérer qu'on rencontre pas une autre forme de vie sur le chemin elle serait capable de nous exterminer pour le bien de la galaxie, ou elle pourrait de mourir de rire aussi...

On n'aura qu'à envoyer les Space Marines.

Oula, oula.

Avant de pouvoir vouloir être heureux dans la collectivité, il faut savoir réussir à être heureux seul, et dans les moment les moins exceptionnel. C'est comme apprendre à marcher pour ensuite courir.

Et si alors on ne parvient pas, ne vaut il mieux pas voir le verre moitié plein que moitié vide ?
Accepter le quotidien est pour chacun la chose la plus difficile.
On ne veut pas vivre sa vie, on veut vivre une vie différente, celle qu'on
a rêvée ou celle des autres. Mais on ne progresse qu'en remplissant
d'une présence attentive ses petits moments sans histoire.
Lorsque qu'on accepte de vivre chacun de ces instants, sans attendre autre chose, on bâtit une plénitude que rien ne peut attaquer. C'est alors que, dans notre vie, rien ne se perd, au contraire tout se crée.
Tu tombe en panne en campagne, ça capte pas, tu t'assied sur ton capot, et tu aprécie les brise légère, le soleil sur ton visage, le gazouilli du merle, et pour une fois, tu te contente SEULEMENT d'exister et d'être la pour vivre ce moment. Jusqu'a ce qu'un véhicule passe pour t'aider. Et voila, tu as transformé ce que chacun vie comme une emmerde en un moment magique.

Il y à une l'histoire d'un sage berger comme ça... Un berger et un voyageur font la route ensembles.
Le voyageur :"Quel temps allons-nous avoir aujourd'hui ?"
Le berger :"La sorte de temps que j'aime bien."
Le voyageur :"Comment savez-vous que ce sera la sorte de
temps que vous aimez bien ?"
Le berger :"Je me suis rendu compte, Monsieur, que je ne
peux pas toujours obtenir ce que j'aime, alors, j'ai appris
à aimer ce qui m'est donné. C'est pourquoi je suis
parfaitement sûr que nous allons avoir la sorte
de temps que j'aime bien".
Bonheur et malheur résident dans la manière dont nous
prenons les choses, non dans la nature même de ces choses.

Une fois réussis à comprendre ce concept, il faut savoir regarder au delà du monde que l'on (crois) connaître, et c'est pas facile, pour moi le premier, mais il y à toujours du positif à voir dans les plus mauvaises choses... Une autre histoire de la grenouille au fond du puit explique bien cela.

C'est l'histoire d'une grenouille qui est née dans un puit.
Chaque jours elle parcourt le même chemin dans le puit.
Tout les jours un sceau descend au bout d'une corde, mais la grenouille en à peur et elle s'enfuit se cacher.
Toute sa vie elle cru alors que le puit était le monde, alors qu'il est beaucouop plus vaste et merveilleux !
Toi aussi ne fait pas comme la grenouille dans le puit, sache regarder la vie au dela de ce que tu en connais.

Et je conclu avec une dernière histoire ( je collectionne :p) Mais elle s'applique facilement

Il était une fois un pauvre fermier qui avait perdu son unique cheval. Alors que ses amis et ses voisins déploraient son malheur, il restait imperturbable. « Chance ou malchance, qui le sait ...? » , dit-il avec un sourire énigmatique.

Plusieurs jours plus tard, son cheval réapparut accompagné de cinq étalons sauvages qu’il avait rencontrés en chemin. Ses voisins se réjouirent de sa bonne fortune et lui dirent qu'il avait de la chance. «Chance ou malchance, qui le sait ...? », répéta-t-il.

La semaine suivante, alors qu’il essayait de monter et d’apprivoiser l’un des étalons, son fils unique bien-aimé tomba et se cassa la jambe. Les voisins aussi attentionnés en étaient chagrinés mais le fermier, qui réconforta et soigna pourtant son fils, ne s’inquiétait pas plus. « Chance ou malchance, qui le sait ...? », commenta-t-il.

A la fin du mois, le seigneur local de la guerre arriva dans le village du fermier pour enrôler tous les jeunes gens valides afin de combattre dans la dernière campagne. Quant au fils du fermier il ne fut pas enrôlé du fait de son invalidité.
Les voisins voyant cela allèrent trouver le fermier ...
Je vous laisse continuer l'histoire....

POSITIVE ATTITUDE !

A l'occasion part dans un pays de gens de peut, et regarde comment il sont heureux, c'est beau la vie, et les hommes aussi

Il va falloir vous accrocher les gars car ce que je vais vous dire n'est pas fait pour rendre joyeux...

Mon "coup de Calgon" comme on dit par chez moi et qui justifie cette recrudescence de haine envers l'humanité :

Je pense que vous savez tous ou je travail (dans un sex shop pour ceux qui n'ont pas suivit) Hier alors que la fatigue physique et nerveuse était très présente un homme d'age mur rentre, plus un clochard qu'autre chose, on le savait pas très frais (mentalement) mais bon on lui laissait sont petit trip qui était de récupérer les magazines gratuits des mois précédents.

D'habitude il ne faisait pas d'histoire, et je ne savais pas qu'il était mentalement dérangé, il commence à déblatérer un truc incompréhensible quand subitement il me parle comme ça :

(je traduirais pour que tout le monde comprenne)

-Il faudra m'expliquer pourquoi Zorro... Celui qui me sauve...

(Par Zorro il parlait de mon meilleur ami qui travail avec moi mais a d'autre horaire)

Alors que je lui dis que j'aime les jeunes

(on peu dire les films Teens 18-22ans)

Il a sur son fond d'écran une photo de sa fille (2 ans) avec la bouche ouverte comme ça... (Il me montre la bouche ouverte en grand avec une expression plus qu'explicite)

= De la il deviens un peu agressif, moi j'étais un peu perdu, choqué, ou plutôt j'essayais d'appréhender les insinuation abominables qu'il venait de lancer, et s'en va=

10 minutes plus tard il reviens pour me parler de sa perversion pour les animaux et les jeunes, là j'ai craqué, je l'ai foutu dehors avec perte et fracas en lui disant de ne plus jamais revenir.

J'ai du demander a ce que l'on me remplace 5 minute par ce que s'en était plus que je ne pouvait supporter.

...Il est revenu à la charge... Cette fois c'est moi et mon patron qui l'avons foutu dehors sous une série d'insultes des plus épicés.

Pour terminer la soirée un client est venu se plaindre qu'a l'étage un jeune (qui venait de sortir) lui avait mis un couteau sous la gorge, l'avait racketté de 10euros.

Ou est la chance ou malchance quand un cinglé puant ose insinuer que ton meilleur ami offrirai la bouche de sa fille de deux ans (que j'ai vu naitre) pour de viles utilisations?

Ou faut il prendre le bon coté des choses quand un mec se fait détrousser et qu'il ne peux même pas appeler la police (la honte puis le fait qu'a Nice ils ne se déplacent pas pour 10 euros)?

J'ai en ce moment même en face de moi un client bien bourré qui me raconte sa vie en tentant de tenir un discours cohérent (il n'y arrive pas...) je feint donc de l'ignorer tout en guettant une occasion de le foutre dehors.

Ceci n'est bien sur qu'un récit léger, un épisode parmi tant d'autres, je pourrais sortir des milliers d'exemples et pas que dans un sex shop, que l'humain est une pourriture impie.

Dieu merci certaines personnes valent encore le coup, mais la masse comme je le disais est condamnable à juste titre, je côtoie la monstruosité et la folie jours après jours.

Change de boulot me dira t'on, ne vous inquiétez pas c'est en cours, mais il est trop tard, maintenant je sais comment sont les gens...

En ce qui concerne ma vision du monde, j'ai pas mal bourlingué, l'Italie, l'Angleterre, la Grèce, le Danemark, le Québec, pour chaque personne valable comme on dit il y en a 10 à pendre sur le champ.

Désoler pour la désillusion les gars mais la positive attitude c'est pas mon truc, la seule chose qui vaille vraiment le coup dans ce monde je vis avec et s'appel Dalrikmakaz.

Ben mon vieux, c'est sûr que tu dois en voir passer des déglingués dans un sex-shop. Je dis pas que c'est un lieu pour déglingués mais il doit y en avoir un bon paquet dans le lot quand même, parce qu'il suffit généralement de mettre des trucs de sexe quelque part pour que se ramènent illico des gens un peu bizarres.

Moi par exemple j'aime les nanards un peu débiles, et je vais donc souvent à l'Absurde Séance (c'est une séance par semaine au cinéma Katorza à Nantes, un film bien pourri et/ou très stupide qu'on peut aller voir rien que pour se marrer... je pense que c'est le genre de trucs que Vadhino aimerait voir aussi).

Bref, une fois j'y suis allé, c'était pour voir "Les aventures galantes de Zorro" (pas ton collègue, le vrai Zorro), un pur navet pseudo-érotique (tu parles d'un film érotique, tout le long tu vois une espèce de vieille grosse et moche en robe de chambre qui s'exclame "vous n'avez pas vu Zorro ?") plus tourné sur l'humour que les scènes hot, à vrai dire (d'ailleurs on ne voyait même rien de choquant par rapport aux films tout public actuels).

Eh bien même pour un truc aussi naze, avec des scènes "chaudes" qui n'en étaient pas (on voit le lit qui bouge et c'est tout) il y avait dans la salle ce soir-là une espèce de faune de psychopathes dépravés, dont la moitié se sont cassés au bout de quelques minutes quand ils ont vu que ça n'avait rien de véritablement érotique.

ça fait des siècles que je me coltine des cinglés, que ce soit comme veilleur de nuit (prostitués, macros, clients, ivrognes, et toute la jolie faune de la nuit), comme vendeur dans des sex shop, ou même aux pompes funèbres (oui bon je sais mais comme disais Mordrep j'ai pris ce que la vie m'offrait... quoi comment ça elle m'a offert que de la merde?? ).

C'est maintenant plus compréhensible quand je dis que j'aime pas les humains, j'ai vus ce qu'il y a de plus nul dans cette engeance.

Tu sais je te comprend complètement mon vieux. Moi même j'ai 5 ans de sécurité/sûreté et j'en vois passer aussi, pas plus tard que l'été dernier, à 150m de la ou j'étais en poste, fut jetée à l'eau une jeune fille encore en vie, qui fut au préalable torturée tout la nuit, 16 entailles sur chaque avant bras, des entailles sous les yeux, éventrée, et plongée dans l'eau froide pour arrêter le saignement, ensuite il l'on obligée à marcher semi consciente 6Km pour la jeter dans le port et la finir dans l'eau. Je m'en veut de n'avoir rien vu, et des expérience dans ce genre en moins grave j'en vie tout les mois, mais en même temps qu'est ce que j'y peut, que ce que tu y peut, pour faire fonctionner l'électricité il faut un négatif et un positif, comme pour créer un orage et qu'il pleuve, comme pour l'attraction terrestre qui permet la vie, comme pour la rose naissante il fallut le fumier, et comme pour faire un monde il faut du bon et du mauvais. Et en aucuns cas on doit s'en sentir responsables, ni de la misère du monde, le mal existera partout et toujours, ce qui est honorable c'est de contribuer au bien.
Et tu me parais être quelqu'un d'bien

Merci Mordrep j'essaye envers et contre tout de rester quelqu'un de bien, je précise que c'est vraiment dans sa masse que je n'aime pas l'être humain, il y a évidement des gens bien, trop peu, c'est regrettable.

Donc autant être répurgateur jusqu'au bout des ongles et purger la société de tout ces malades corrompus.

Allumez les torches et suivez moi

Et alors ? Où est le problème dans tout ça ? Il y a des tordus, des psychopathes, des vicieux, des pervers ? Et alors ? Je ne vois pas en quoi il faut ensuite se ruiner la vie ou fermer les yeux. Je serais assez d'accordavec la vision de Mordrep : la vie a besoin de la mort et vice-versa. A chacun surtout de faire son trajet.

Crois-tu vraiment que le monde sera meilleur parce que l'on en aura massacré la moitié ? De quelle autorité d'ailleurs ? Qui peut décider qu'untel ou untel mérite de mourir ? Parce qu'il pédophile, pervers sexuel, tueur névrotpathe ? Qui décide de qui est quoi ? Et demain, toi même, tu pourrais être le pervers pour un autre.

Non, il ne faut pas s'enfermer dans des idées du style "j'en massacre la moitié et je castre l'autre". C'est inutile et ça te bouffe plus qu'autre chose. La haine de l'autre, c'est épuisant. Comme l'amour d'ailleurs. Toujours le positif et le négatif.

Maintenant, bosser dans un sex-shop ne peut que faire cotoyer ce type de marginaux. Il ya des métiers et des lieux comme ça. A toi de faire ce qu'il faut pour les éviter. Il n'y a pas d'autres solutions.

Mais même sans aller aussi loin dans les perversions, il y a toujours des cons, des vrais, des purs. J'ai vu, pas plus tard qu'hier, sur le quai de la ligne E du RER, un couple de jeune (16-17 ans quand même, mais pour moi et mon âge canonique, tout est jeune maintenant ) qui se chamaillait. Le train arrive et le mec se met à faire semblant de vouloir jeter sa copine sur les rails. Or, il est bien plus baléze qu'elle et la pousse trop fort. Elle manque de tomber et ce con, au lieu de la rattraper, se barre ! Heureusement qu'un autre gars la prise par le bras : le train lui arrivait dessus. C'est tout con. Ce n'est pas la lie de l'humanité. Ce n'est que de la stupidité et de la lacheté. Je n'ai pas su ce qui s'était passé par la suite puisque j'ai pris mon train, mais à la place du gars, je ne serais pas fier. Mais même si con, mérite-t-il la haine ? Non, simplement qu'on lui botte le cul.

Et en plus, en montant dans ma rame, j'ai entendu une dame dire à son amie : "Heureusement qu'elle est pas tombée, ça aurait bloqué tous les trains !" Si tu veux tuer tous les cons, léves-toi tôt, y a du boulot...